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"I Read The Hobbit In 1937 When It First Came Out."
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Sam 27 Mai - 17:07
James Buchanan Barnes
Infos Personnelles
Surnom : Bucky, Buck (seulement par Steve), Winter Soldier.
Tu es né le : 10 mars 1917
Tu as : 106 ans
Tu viens de quel univers  : Captain Amercia MCU
tu es  : Bucky, Winter Soldier
Ton groupe  : Verdandi
côté cœur: Un gros trou béant
ton métier c'est : Ancien militaire, ancien assassin, ancien mercenaire, il est actuellement agent de sécurité dans une boite d'intérim, ce qui fait qu'il ne bosse pratiquement jamais au même endroit.
Tu ressembles à : Sebastian Stan

Particularités
- Il était en cours de réhabilitation. Le gouvernement fédéral des États-Unis lui avait accordé l'amnistie. En contrepartie, il devait se plier à diverses restrictions et faire régulièrement acte de présence devant sa psychiatre. Sa volonté de se racheter, seul cap qu'il trouvait à suivre, l'a conduit à briser ces engagements qui liaient trop ses mains.
- Les problèmes identitaires sont toujours présents. Il n'en dira rien, pourtant il a mis en place certaines techniques, qu'il juge lui-même désuètes, afin de consolider son individualité. Il garde notamment au cou ses plaques militaires ; refaites sur le modèle de celles qu'il portait au sein des commandos hurlants. Lors de sa capture par Hydra, répéter son nom, grade et numéro de matricule sans discontinuer lui avait permis de garder le cap et de ne pas céder.
- Il s'efforce de développer des goûts musicaux en adéquation avec l'époque actuelle (assez peu de succès recensés jusque-là).
- En suivant l'exemple de Steve, il a également écrit une liste de choses à réaliser. Mais le fond de la démarche n'a rien de similaire ; si Steve voulait découvrir cette époque en annotant ses incontournables à rattraper, Bucky a listé d'une part les noms des familles auxquelles il a arraché un proche, d'autre part les noms des agent d'Hydra ou assimilés avec lesquels le soldat de l'hiver a collaboré.
- Il vivait dans un appartement spartiate, presque entièrement vide. Il ne possède qu'une kitchenette souffreteuse et une salle d'eau équipée. Pas même un lit.
- En retrouvant Steve, il s'est réconcilié avec le monde extérieur et a accepté de prendre un appartement avec lui.
- Ils ont vécu une relation plus poussée qu'autrefois, mais on décidait d'un commun accord de ne pas continuer sur cette voie.
- La seule personne qu'il ait aimé jusqu'ici c'est Rogers et il sait que l'inverse était également vraie.

Caractère
Le jeune homme qu'il était, avec sa petite popularité, en profitait sans sincèrement s'en enorgueillir. Barnes aimait plaire, être remarqué et surtout se rendre disponible, se sentir impliqué, intégré. La cohésion était primordiale, laisser l'un de ses proches s'escrimer avec la solitude aurait été impensable.

Il aurait été incapable de profiter d'un moment d'amusement si ses comparses ne partageaient pas sa disposition. L'esprit de groupe, de corps, était moteur. Avoir un rôle dans la bande, celui de médiateur ou de protecteur - en acceptant de bonne grâce le côté valorisant du titre - , lui convenait mieux que l'avancée en solitaire - ainsi il trouvait du sens, orientait ses buts, à la rencontre des personnes.

Ses bravades, son allure frondeuse associée à un port de tête haut contribuaient à un paraître qu'il aimait entretenir, son caractère n'étant en réalité pas fortement affirmé. Barnes prônait la coopération, trouvait en chacun des qualités évidentes et s'efforçait de s'adapter aux diverses individualités. Ses décisions étaient constamment prises sur la base subjective de ce qu'il estimait juste. Ancré sur ses positions, il savait épisodiquement interroger son système de valeurs de sorte à fonctionner efficacement en tant que support - cette capacité de remise en cause n'est toutefois pas allée assez loin pour lui permettre de discréditer la propagande de guerre américaine qui déguisait l'enrôlement de la jeunesse en acte de bravoure et de dévouement. Son sens moral était bien trop activé, son entêtement a amplement contribué. Il y a cru à ces fresques héroïques, comme pas mal d'autres jeunes, d'ailleurs. Rogers y comprit.

Barnes n'avait pas une mauvaise intuition, une empathie correcte, il prêtait attention aux détails, aux variations dans la voix de ses amis, au langage non-verbal, sans pour autant rationaliser son approche, sans faire d'associations d'idées ou de théorisations, il se proposait pour écouter.

La loyauté était son trait prédominant ; jusqu'au-boutiste et sans concessions. Il aurait été prêt à tout déployer, à tout abandonner, pour prêter main forte à l'un de ses proches ou à quiconque en situation de vulnérabilité. Tout particulièrement à Steve, ce petit gars qu'il considérait comme un membre à part entière de sa famille et dont il admirait la ténacité. Ouvert et tolérant selon les standards de son époque, ses pointes d'humour avaient vocation à être communicatives, pas railleuses.

Il était devenu une arme, un fusil dans la main d'un ou plusieurs fous. Une bombe à retardement, quelque chose qui peut péter d'un seul coup. Assassin sans cœur, sans foi, ni loi, sans même conscience. Dès que celle-ci montrait des signes de retour, il était à nouveau conditionné pour que tout ne soit plus, même pas un lointain souvenir.

Si le soldat de l'hiver se mouvait sous sa peau, il était aux antipodes de Bucky.
Lavé de ses valeurs, de ses scrupules ; de ses oripeaux d'humanité, dépersonnalisé pour servir et ne plus être. Bucky aurait aimé avoir la certitude, fausse consolation mais éventuel garde-fou, que sa lutte avait été vaillante. Mais il sait que le conditionnement l'a rapidement défait. Aujourd'hui les souvenirs qui étaient séquencés, consignés, cloisonnés, lui reviennent tous à la fois.

Devant essuyé ses frasques, laver ses pêchers, il ne pourra jamais ramener tout ceux qu'il a froidement assassiné. Faisant face à leurs proches, essayant de les aider un maximum, Bucky n'a pas eu la chance d'oublier en arrivant dans ce monde. Faisant face à ses cauchemars la nuit, à ses périodes de bug le jour, sa conscience est lourde, de sens et de poids.
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Sam 27 Mai - 17:08
Histoire
- James Buchanan Barnes naquit durant la première guerre mondiale, en mars 1917. Le 6 avril suivant, la conscription est décrétée sur le sol américain. Bucky est le second enfant du couple Barnes, Rebecca étant son aînée de deux ans.
Sept mois plus tard son père, Georges M. Barnes, servait sous les drapeaux, était déployé en France au sein de la 1ère division d'infanterie américaine la "Big Red One". Il revint en victorieux, acclamé et décoré par la nation et retrouva Winnifred C. Barnes, vaillante épouse dont le teint jadis rosé était désormais crayeux. Ses rires autrefois cristallins s'éraillaient, la faute à une toux inflammée, thoracique contractée durant ses travaux à l'usine. La trentenaire allait porter un œil doux sur ses enfants jusqu'à l'extinction de ses dernières lueurs, le 05 février 1920. Georges, porta sa douleur avec discrétion afin que ses enfants, trop jeunes pour réaliser, puissent demeurer des enfants, aussi longtemps que possible.
- Shelbyville était une ville paisible logée dans l'Indiana, il y faisait bon vivre à l'approche des Roaring Twenties,  marquées par l'urbanisation, l'essor de la consommation de masse et du divertissement grand public. Une période de prospérité qui trouvait racine dans une seconde phase de révolution industrielle. Georges, vétéran de guerre, avait obtenu un emploi sans difficultés. Bucky suivait religieusement les programmations radiophoniques et s'émerveillait de ce monde en plein développement culturel ; son père les conduisait régulièrement, Becca et lui, au cinéma pour profiter d'un vaudeville qui laissait de côté les impératifs du quotidien.
- Le jeudi noir de l'année 1929 entraîna l'explosion du chômage, déséquilibra le travail décent. Georges perdit son emploi dans les semaines qui suivirent. Shelbyville était décentrée de la grande industrie, encore pourvoyeuse d'emplois, la famille fut contrainte de rejoindre Brooklyn, l'un des pôles de la production de produits manufacturés du pays.
- La grande dépression était toutefois endogène à ce milieu urbain et s'y installer était un pari ; la misère sillonnait les rues d'où jaillissaient des bidonvilles et la famille Barnes emménagea là où ses modestes moyens la conduisirent, à l'embouchure de la 72ème rue, dans un petit appartement. Bucky côtoya la grande pauvreté dont il était le voisin direct. Son père obtint, ses états de service ayant été un atout, un poste au sein de la Work Projects Administration.
- Barnes fut un élève appliqué qui obtint à plusieurs reprises les félicitations du corps enseignant, il excellait également en athlétisme. C'est durant sa scolarité qu'il fit la rencontre de Steve Rogers, alors que ce dernier était encerclé et moqué par des élèves plus âgés. Bucky s'interposa et les deux devinrent, rapidement, inséparables. Sûrement étouffait-il Steve, à certaines occasions, tant il souhaitait l'épauler et le protéger. Il admirait ce petit gars frondeur et intraitable sur ses valeurs. Les deux adolescents se lancèrent ensemble dans de nombreuses aventures rocambolesques.
Barnes convainquit notamment Rogers de l'accompagner à Coney Island.
- Georges M. Barnes perdit la vie lors d'un accident survenu durant un entraînement au camp Lehigh, base opérationnelle de la section scientifique de réserve où il avait été invité à reprendre du service. Ce décès survint peu avant Noël 1935, Bucky avait alors 18 ans. Depuis Noël reste une période difficile à traverser, chaque année. Barnes, peu accoutumé à s'épancher et ne sachant quels mots associer à ses émotions, resta majoritairement silencieux à ce propos. Steve fut le seul à les soutenir réellement, Becca et lui.
- En 1937, les États-Unis entraient dans la Seconde Guerre mondiale, Rogers et Barnes, partageant les mêmes patriotisme et idéaux, décidèrent de s’engager ensemble. Bucky passa deux semaines à entraîner Steve au Goldie’s Boxing Gym. Si Rogers fut finalement jugé inapte au service, Barnes passa les tests avec succès.
- Barnes, aux côtés du reste du 107ème Régiment d'Infanterie, fut entraîné durant l'hiver au Camp McCoy, dans le Wisconsin où il atteignit le grade de sergent. Rapidement, Barnes fut mobilisé en Angleterre, non sans promettre à Rogers de revenir victorieux au pays.
- Lors d’une opération à Azzano, son unité fut prise en tenaille par les pelotons d’opération de la Wehrmacht. C’est finalement HYDRA qui se tailla la part du lion ; les soldats pris au piège furent mis au fer, contraints aux travaux forcés au sein d’un complexe d’armement en Autriche où ils furent sans le savoir affectés à la construction de la super-arme Valkyrie.
Arrivé au bout de ses forces et psychologiquement instable, Bucky fut désaffecté du travail forcé et placé dans une unité retranchée, exiguë et poisseuse d'obscurité,  pour y être utilisé comme cobaye dans le cadre des expérimentations conduites par Arnim Zola. Bucky y alterna entre phases de conscience et d'inconscience, y perdit la notion du temps, invoquait son identité, son matricule, en permanence auprès de lui-même comme un rappel - seule manière de conserver quelques fondations. Il sera libéré en 1943 par un Steve métamorphosé et rejoignit les Commandos Hurlants. Au cours des mois qui suivirent, les commandos dirigés par Captain, détruisirent la plupart des grandes bases opérationnelles d'HYDRA. Au sein de cette escouade, Barnes officiait en tant que tireur d'élite.
Fin 1944, les Commandos Hurlants mirent en place une opération visant à capturer Arnim Zola durant son déplacement en train dans les Alpes suisses ; si l'assaut fut minutieusement planifié, il enregistra une amère victoire puisque Bucky chuta du train, atterrissant plusieurs dizaines de mètres en contrebas, dans une rivière gelée. Sa conscience était intermittente, son souffle quasiment éteint, même la douleur était évanescente, conséquence de l’atteinte sévère de ses fonctions vitales ; de son bras gauche ne subsistait qu’un amalgame de terminaisons nerveuses et de chairs éventrées. Sans le savoir sa physiologie améliorée par les premières injections du sérum venait de lui sauver la vie. Barnes fut découvert par un soldat soviétique en mission de reconnaissance et livré à HYDRA. Il fut gardé prisonnier jusqu'en 1950. A la libération de Zola, qui était sous la garde de la SSR, celui-ci poursuivit ses expériences et fit de Barnes son objet d'étude privilégié.
- Barnes fut soumis à de nombreuses tortures ; thérapie électro-convulsive séquencée par des mots-clés et des phrases suggestives; afin d'activer méthodiquement certaines aires de son cerveau à partir de stimulations précises. Injections intra-musculaires répétées, combats forcés, privation de sommeil, surexposition sensorielle.
Le traitement électro-convulsif était jugé, par Zola lui-même, comme extrêmement douloureux. Cet état de souffrance constant a participé à la dépersonnalisation de James ; lorsque son cerveau était encore suffisamment fonctionnel pour lui permettre des états de conscience de soi -lorsqu'il se souvenait de son nom-, celle-ci était en flottaison au-delà des reliefs de son corps qu'il ne ressentait plus. Ses pensées étaient sporadiques, lavées de tout sentiment d'urgence, de devoir : extérieures. A terme, son éveil s'apparentait à un sommeil paradoxal perpétuel. Puisque ses fonctions cérébrales étaient atteintes, il n'aurait pas pu se reconstruire seul dans l'hypothèse où il aurait échappé aux électrochocs sur un certain laps de temps. L'emprise était bien assurée. Dans les années 60, Barnes est d'ailleurs parvenu à s'échapper, inconsciemment, lors de son déploiement pour une mission d'assassinat. Il a été retrouvé, hagard, dans les rues de Novi Grad.
- C'est au sein du KGB qu'il reçut son titre de "soldat de l'hiver", ainsi qu'un entraînement martial très avancé.
- Barnes fut réactivé pour collecter, au moins, une trentaine de cibles d'intérêt sur les 50 dernières années. Scientifiques, personnalités politiques, opposants.
- Les souvenirs partagés de Barnes avec Steve finirent par réactiver certains fragments de mémoire - en plein affrontement. Ce stimulus émotionnel était le seul moyen d'aider Bucky à combattre le conditionnement et à rompre la transe. La clef était dans le ressenti, il devait ressentir une chose forte, qui l'identifierait. Lorsque Rogers utilisa son surnom et une phrase qu'ils avaient l'habitude de s'échanger, toute la mécanique qui actionnait ses faits et gestes se grippa.
- Fugitif, Barnes s'établit à Bucarest et y entama un travail de mémoire - amorcer une pensée cohérente, conserver sa concentration, ne pas détourner les yeux devant les réminiscences qui s'imprimaient avec brutalité sur sa rétine et sur ses mains,  lui demanda de l'exercice. Ses capacités cognitives ankylosées n'aidèrent pas. La frustration était réelle, presque autant que la culpabilité. L'ancien sergent était à vif, car sorti sans boussole d'années de détention dans ses propres chairs. Il finit par se retrouver, au moins partiellement et goûta à des aperçus de la vie civile.
- L'accalmie ne dura pas. Rapidement, les journaux l'accusèrent d'avoir perpétré un attentat au sein du Centre international des Nations unies de Vienne, d'avoir causé par extension le meurtre du Roi T’Chaka. Il comprit que la trêve dont il jouissait était terminée et décida de partir.
- Steve tenta de le protéger de l'assaut donné par les forces armées, cependant Bucky préféra fuir pour prévenir toute perte, bien décidé à ne plus tuer. Le fils du Roi T’Chaka ne lui en laissa cependant pas le loisir, le ralentissant et le contraignant à la reddition à l’issue d’une course-poursuite effrénée.
- Les Nations unies l’enfermèrent dans une cage faite d'acier et de vitrages renforcés, une enquête fut lancée, un psychiatre de notoriété internationale fut convié à la farce afin de statuer de son discernement,  de sa responsabilité pénale. Bucky ne se rendit pas coopératif, persuadé qu'il n'aurait le droit à aucune tribune. Peu décidé à se défendre, par ailleurs.
- Théo Broussard lui fit face, dans ses yeux, quelque chose que James ne savait décrire mais qu'il savait reconnaître - manipulation, intérêts quels qu'ils soient, le soldat se braqua, muscles tendus et mâchoire crochetée. Lorsque la geôle s'obscurcit, qu'une lumière au rouge d'alerte, vacillante, inonda la pièce, les yeux du soldat heurtèrent le carnet que brandissait le psychiatre - carmin et surmonté d’une étoile argentée, sa cage, il comprit immédiatement. La séquence de réactivation, ces mots, vrillèrent ses tympans, rendirent  silencieuse la sirène d'alarme - vague requiem d'arrière-plan.
Le soldat lutta, son corps s’arqua, ses lèvres frémissantes au-delà de tout contrôle conscient. Terreur.
Bucky parvint à briser les chaînes qui entravaient ses poignets, refusant de retomber dans la servitude.
Pas celles qui dictaient  sa conscience. Quand le vitrage se disloqua sous ses coups de poings furieux et désespérés, ce fut soudain l’arrêt de sa conscience - il n'était plus que spectateur, distant, dépersonnalisé. Trop tard.
Le soldat de l'hiver répondit aux questions de Broussard avec docilité et permit à l’homme de s’enfuir. Il affronta tour à tour les Avengers présents dans les locaux du centre de lutte anti-terroriste de Berlin. Steve réussit finalement à le maîtriser et à l’extraire des lieux.
- Lorsque Bucky se réveilla, il fit face à Steve qui l’interrogea sur les intentions du psychiatre. Il informa Captain que Broussard lui avait extirpé les informations nécessaires à la localisation du centre de formation sibérien du programme Soldat de l’Hiver, où une dizaine de tueurs expérimentés, en capacité de déstabiliser le monde occidental, attendaient leur réactivation. Ils se mirent d’accord pour arrêter l’homme avant qu’il ne puisse s'approprier les soldats.
Steve et Sam Wilson se positionnèrent en sa faveur face au reste des Avengers. Ce qui donna un coup d'estoc à la cohésion de l'équipe, déjà fragilisée par les traités de Sokovie.
- Steve et Bucky rejoignirent le complexe sibérien d’Hydra. Iron Man, ayant obtenu de nouvelles informations, réenvisagea sa position et vint leur confier l'identité réelle du psychiatre :  Helmut Zemo, ancien colonel de l’armée Sokovienne. Une trêve fut instituée, le temps de le mettre hors d'état de nuire.
- Quand ils découvrirent que les super-soldats avaient été abattus sans tentative d’éveil, Zemo mis en route son réel plan. Dicté par la vengeance et en représailles de l'attaque d'Ultron sur la Sokovie, il entendait briser les Avengers qu'il tenait pour responsables. L'ex-colonel avait décidé d'éventrer leur empire de l'intérieur, en instrumentalisant Barnes. Le terroriste dévoila les enregistrements vidéo du rapport de mission daté du 16 Décembre 1991, jour où le soldat de l’hiver ôta, à mains nues, les vies de Howard et de Maria Stark afin de récupérer des échantillons de sérum qu'ils transportaient.
La douleur retourna Iron Man contre l’ancien soldat, décidé à le tuer. Au terme d'une bataille fratricide, Steve parvint à prendre la fuite aux côtés de Bucky et le conduisit là où il serait accueilli, au Wakanda. T’Challa l’accepta, désormais conscient de son innocence.
- Au Wakanda, Shuri travailla à la levée de son conditionnement ; les exercices requis se déroulèrent sous la supervision d’Ayo, en capacité de le retenir s'il perdait le contrôle. Là-bas, il était nommé "loup-blanc" ; un titre amical auquel Barnes s'était attaché ; sa gratitude était profonde.
- Lorsque Steve pu, enfin, retrouver Peggy et embrasser la vie paisible qu'il méritait, Barnes en fut ravi, dans l'idée, considérant que cela n'était que justice. Cependant, en l'absence de son unique repère, dans les faits, Bucky ne vivait plus qu'en tentant d'incarner ce que Captain avait vu en lui.
- Le gouvernement américain décida de le réhabiliter, certainement pour ne pas froisser les dernières volontés du Captain ou l'opinion publique ou un savant mélange des deux, 4 à condition qu'il se prête à un suivi psychiatrique rigoureux, une probation. Il s'y plia, un temps.
-L'arrivée d’un nouveau groupe terroriste, les Flag Smashers, composé de super-soldats conduisit Bucky à reprendre du service. Il avait en effet déduit qu'HYDRA devait être impliquée, de près ou de loin.
- Dépourvu de pistes solides, il reprit contact de mauvaise grâce avec son ami Sam Wilson, à l'encontre duque il il éprouvait une certaine rancœur suite à son abandon du bouclier de Steve.  Leur mission les amena à devoir faire alliance avec le Baron Helmut Zemo afin de profiter de son réseau et de ses connaissances - Bucky le libérade la prison de haute-sécurité dans laquelle il était retenu. Dire qu'il le regrette serait mentir, quand bien même il le devrait, cet acte s'apparentant à une trahison envers le Wakanda.
- Bien que les intentions des Flag Smashers aient été de protéger les démunis, d'épauler celles et ceux qui risquaient l’extradition pour cause de surpopulation après la fin de l’éclipse, leurs méthodes se radicalisèrent.
- Sam Wilson reprit finalement le costume de Captain America, après l’avoir arraché des mains de John Walker ; Bucky l’aida à arrêter l’attentat prévu par les Flag Smashers.
- Les épreuves continuèrent. Le ciel se balafra par-delà les nuages. Il fut comme aspirer par cette brèche et perdit connaissance.
- A son réveil, il était loin de tout ce qu'il avait déjà connu.
- Errant à la recherche de Sam, il a reprit les bonnes habitudes en se fondant dans la masse.
- Ce n'est pas Wilson qu'il a retrouvé, mais Steve qui, à sa grande surprise, est toujours en vie.
- Joignant l'utile à l'agréable, ils ont prit la décision de vivre ensemble, comme ils l'ont toujours rêvé depuis gamin.
- Trempant dans l'alcool comme à son habitude, Bucky a réussi à dévergonder son vieil ami sur certains points, les conduisant dans un même lit.
- Une erreur liée à l'alcool qui est devenue récurrente, même sans avoir bu la moindre goutte. Un couple, une évidence.
- Pourtant, leur idylle a prise fin il y a quelques mois. Leur amitié étant plus forte que n'importe quel autre lien dans ce monde et dans tous les autres, ils ont voulu le préserver. Leur couple aurait été un frein à cela. Sachant qu'il gâche toujours tout sur tout, Buck a fini par craindre pour cette amitié si cher à son coeur.
Invité
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Anthony E. Stark
Anthony E. Stark
Localisation : Soit dans sa villa dans la région de Kanto ; Soit dans la nouvelle tour des Avengers à Los Angeles
Emploi/loisirs : Fondateur & CEO de Stark Corporation and Industrie (qui regroupe toutes mes fondations et autres occupations pécuniaires)
Sam 27 Mai - 18:07




Félicitations !  

Tiens. Qui voila... Le couteau ambulant "I Read The Hobbit In 1937 When It First Came Out." 2893736665

sirene  ohqueoui  sirene  "I Read The Hobbit In 1937 When It First Came Out." 2745298937  Et bravo ! Tu as franchi l'étape la plus importante, l'écriture de ta fiche !

C'est donc parti pour le fun et la régalade ! Bon jeu à toi  "I Read The Hobbit In 1937 When It First Came Out." 792180067  "I Read The Hobbit In 1937 When It First Came Out." 792180067

:copyright: Codage By Poor unfortunate Souls



Anthony E. Stark
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