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Invité
Jeu 27 Avr - 18:18
Malia Elizabeth Hale
Infos Personnelles
Surnom : /
Tu es né le : 28 Novembre
Tu as : 17 ans
Tu viens de quel univers  : Teen Wolf
tu es  : Malia la Coyote Garou
Ton groupe  : Verdandi
côté cœur: En couple
ton métier c'est : Lycéenne
Tu ressembles à : Shelley Hennig
Pouvoirs: Ils ne sont pas encore revenus

Particularités
C'est un Coyote Garou. Fille de la Louve du Désert et de Peter Hale. Elle a été adoptée et n'a pas connu ses vrais parents avant l'adolescence. Dans ce nouveau monde, elle était à la rue jusqu'à ce que son père la retrouve et lui propose de venir vivre avec lui. Elle étudie au Lycée Veritas. Si elle s'est toujours imaginée être hétérosexuelle, elle s'est laissée surprendre et se trouve maintenant en couple avec la Chasseur, Claire Novak.
Caractère
Malia est une jeune fille plutôt discrète d'ordinaire, mais elle manque souvent d'un peu de tact. Elle a souvent des réactions bizarres et a développé un sens de l'humour très libéral. Elle a le sang chaud et peut se montrer très bagarreuse, voir des fois, elle peut avoir envie d'enfermer les gens qui la cherche un peu de trop. Elle n'a pas une grande connaissance des liens sociaux, ayant vécu très longtemps sous sa forme animale. Curieuse malgré tout, mais également drôle, elle craint toujours d'être rejetée. Elle n'accorde pas facilement sa confiance et se méfie de tout, mais aussi de tout le monde. Quand elle finit par s'attacher à quelqu'un, c'est corps et âme qu'elle est capable de se battre pour cette personne.
Derrière l'écran
Pseudo : Malia Hale Tate 2833134830
Comment avez-vous connu le forum ? Malia Hale Tate 63879850
Présence : happy
Commentaire ? ohqueoui
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Jeu 27 Avr - 18:18
Histoire

Le début - Un hurlement réveilla Malia au beau milieu de la nuit. Elle s’assit dans son lit, en tremblant. Quelque chose dehors hurla à nouveau, pas très loin de la maison. Des coyotes ? Une série de glapissements nerveux précéda un autre hurlement. Elle avança à pas feutrés jusqu'à la fenêtre, écarta les rideaux et regarda dehors. Une nappe blanche recouvrait la pelouse et la voiture. La lune jetait ses reflets sur la neige, lui donnant l'apparence de cristaux ou de diamants. Tout scintillait, étincelait. C'était magnifique. Elle posa la main sur le châssis glacé de la fenêtre. Quelque chose bougea à l'orée de la forêt, une ombre, une pénombre qui se détachait à peine sur les troncs d'arbres et les branches. D’un coup, Malia retira la main de la fenêtre. Le rideau se referma tandis qu’elle regagna son lit sur la pointe des pieds, le plus vite possible en se retenant de courir.

Malia fut arraché du pneu accroché à l'arbre du jardin où elle se balançait, se faisant trainer dans les bois. Son corps traça un léger sillon dans la neige. Tapis autour d'elle, grognant, jappant et claquant des mâchoires le coyote la lécha, la mordilla, l'a harcela. La fourrure de son cou scintillait de glaçons, son souffle traçait des formes opaques qui flottaient dans l'air alentour. L'odeur musquée de son poil lui rappelait celle, agréable mais terrifiante, de chien mouillé et de feuilles brulées dans le jardin. Sa langue râpeuse lui écorchait la peau, ses crocs indifférents déchiraient ses manches, s'accrochaient à ses cheveux, se pressaient contre ses clavicules, contre le pouls battant à son cou.

Elle aurait pu crier, mais elle ne l'a pas fait. Elle aurait pu se débattre, lutter, mais non. Allongée là, elle s'est abandonnée, en regardant au-dessus de sa tête le ciel blanc d'hiver virer au gris. Jusqu'à qu'elle sente une douleur aiguë la faisant perdre conscience.


La transformation - Mama-aan ! Maman, j’vais être malade !

Les doigts de Malia s'agrippaient à son vieux couvre-lit au motif étoilé, le froissaient, le lacéraient. Elle gisait à terre, prisonnière d'un enchevêtrement confus de couvertures, de bruits et de flaques de vomi et elle grelottait, griffant le sol, tentant de s'y raccrocher, quand la silhouette familière de sa mère apparut dans l'encadrement de la porte. Joue pressée contre le plancher, elle la regardait et entrepris d'articuler son nom. Pas un son ne sortis.

- Oh mon Dieu, Malia ! Il faut t’emmener à l’hôpital !

La jeune brune eu un tout petit gémissement. Elle avait mal. Tout lui faisait mal, partout. Madame Tate s’empressa de prendre Malia dans ses bras pour l’emmener dans la voiture suivie de la plus jeune sœur qui ne pouvait évidemment pas rester seule dans la maison.

- Maman… Malia… Elle fait peur… Elle… Elle…

Malia installée sur la banquette arrière de la voiture juste à côté de sa petite soeur, ne contrôlait plus ses frissons. La bête coulait dans son sang, gonflait ses veines et ses désirs. Ses crocs claquaient. Sa part d'humanité s'éteint très vite lorsque l'odeur alléchante humaine vient s'immiscer dans ses poumons. Elle grogna, fit claquer ses crocs et ses griffes. Un hurlement guttural s'échappa alors qu'elle resserra sa prise autour de la jeune fille. C'est à ce moment-là que, la mère perdit le contrôle de la voiture, en assistant à transformation par le biais du rétroviseur. Le monde se mit à tournoyer. La voiture avait quitté la route et avant même qu'elle ne se retrouve au fond du ravin, les deux passagères se virent ôter la vie par les mains de Malia.

Le lendemain matin, Malia pris conscience de ses actes. Le carnage crée par ses propres mains s'étalait devant elle. Son corps recouvert du sang de sa propre famille. Quelque chose se brisa en elle, la noirceur s'empara de son âme. Plus rien ne sera plus comme avant. Horrifiée, elle trembla de tout son être. Qu'avait-elle fait ? Qu'était-elle devenue ? Un monstre. Le paysage se mit à tourner tout autour d'elle, elle se sentit oppresser. La peine était tellement grande, le choc tellement intense qu'elle laissa son instinct animal prendre le contrôle, se transformant en coyote sans avoir l'habilité de redevenir normale.

Le réveil - Elle se déplaça sans un bruit dans le noir. Où la lumière de la lune filtrait entre les arbres au-dessus de sa tête, les grains de poussière suspendus dans l'air du bois nocturne se muaient en constellations. Elle inspira lentement derrière ses babines retroussées et entendant son souffle sur ses dents. Les coussinets de ses pattes frôlaient à peine le sous-bois humide. Ses narines frémissaient. Elle tendit l'oreille : les battements de son coeur se détachaient sur le gargouillement d'un ruisseau. Une branche sèche menaçait de craquer sous sa patte. Elle s'arrêta, attendit. Elle souleva très lentement la patte. Son haleine glaça ses incisives. Un bruissement, vivant, proche, attira soudain son attention, la retient. Son estomac vide se contracta. Elle s'enfonça plus avant dans l'obscurité. Les oreilles lui picotaient, la chose n'est pas loin. Un cerf ? Elle resta immobile longtemps, pendant qu'un insecte nocturne cliquetait interminablement. Les coups précipités de son coeur s'intercalaient entre les clics. Quelque chose lui effleura l'épaule. Une chose légère et tendre. Elle réprima un tressaillement. Elle demeura un long, très long moment, figée, puis elle tourna la tête pour voir ce qui persistait à la chatouiller l'oreille comme une plume. Elle ne savait plus nommer cela. Ça flottait dans l'air, ça dérivait dans la brise, lui effleurait l'oreille et recommençait, encore et encore. Son esprit se plia, se déplia, serpenta en quête du mot. Soudain, plus loin, des choses qui sentent l'étranger et l'hostile apparurent. Elle retroussa les babines, s'écarta et là, soudain, elle tomba sur sa proie. Qui n'est pas un cerf. Son inquiétude croîtra, sa fourrure se hérissa sur son échine. Il sentait le loup sans en être complètement un. Ils se regardaient. À chaque seconde, de nouveaux poils se dressaient sur son dos et sa nuque. Une alarme retentit dans ses oreilles. Elle recula en montrant les crocs. Elle ne pensait qu'à fuir, à mettre de la distance entre eux, à se retrouver entourée d'arbres et seulement d'arbres. Lorsqu'un hurlement guttural sortis de la bouche de l'inconnu, elle s'aplatit, soumise, la queue entre les pattes, son ventre effleurant l'humus. Puis pour la première fois depuis huit ans, la jeune coyote repris forme humaine.

La suite - En compagnie de ses nouveaux amis, elle reprenait une vie normale malgré tout. L'enfer sembla s'éloigner petit-à-petit. Une jeune fille se dessinait dans le miroir. Retrouvant son père adoptif. Apprenant la réalité sur ses origines. Fille de Peter Hale et de la Louve du Désert. Malia a été adoptée. Acceptant très difficilement la réalité sur sa venue au monde, elle rejeta tout d'abord son père biologique. Mais quand la fusion des univers eut lieu, il était le seul présent dans ce nouveau monde, pour lui tendre la main et lui offrir un toit au-dessus de la tête. Elle accepta et la cohabitation ne se fit pas sans étincelle. Étudiant dans un nouveau lycée, reprendre ses marques devient compliqué. Elle sort alors souvent très tard, sa route croisant celle de Claire Novak. Après une soirée arrosée, Malia se réveille dans le lit de cette fille. Elle qui se croyait attirée par les garçons, s'enfuit. D'abord flous, les souvenirs lui reviennent sous forme de flash. Et les picotements dans son bas ventre à chaque fois qu'elle y pense, sont signes que finalement cette relation n'est pas anodine.
Invité
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Lucifer S. Éosphoros
Lucifer S. Éosphoros
Localisation : Certainement dans son penthouse au siège de Véritas
Emploi/loisirs : Fondateur des écoles Véritas & Ecrivain à succès & Roi de l'Enfer
Ven 28 Avr - 12:30




Félicitations !  


C'est trop mignon les coyotes ! sirene

sirene  ohqueoui  sirene  Malia Hale Tate 2745298937  Et bravo ! Tu as franchi l'étape la plus importante, l'écriture de ta fiche !

C'est donc parti pour le fun et la régalade ! Bon jeu à toi  Malia Hale Tate 792180067  Malia Hale Tate 792180067

:copyright: Codage By Poor unfortunate Souls



Lucifer S. Éosphoros
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