Le deal à ne pas rater :
Display Pokémon japonaise Terastal Festival Ex : où la ...
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Sartre a dit : ‘L’enfer, c’est les autres’. C’était mon premier crush } Wednesday Addams
Wednesday F. Addams
Wednesday F. Addams
Sam 25 Mar - 20:07
Wednesday Friday Addams
Infos Personnelles
Surnom : My little death trap par Gomez. Grim Reaper Barbie par Tyler. My little rain cloud par Morticia. My pig-tailed protégé par Oncle Fester.
Tu es né le :Vendredi 13 Octobre 2005
Tu as : 18 ans
Tu viens de quel univers  : The Addams Family
tu es  : Wednesday
Ton groupe  : Verdandi
côté cœur: Aussi vide que mon âme
ton métier c'est : Vendeuse au magasin des suicides
Tu ressembles à : Jenna Ortega
Pouvoirs: Ils arrivent

Particularités
Est allergique à la couleur X Est HPI X Joue du violoncelle X Est polylinguiste X A terminé d'écrire son livre X Combattante experte avec tous types d'armes X Sait se battre à main nue grâce à des techniques d'arts martiaux X Porte toujours un couteau sur elle X Préfère l'escrime X Son meilleur ami est "La chose" une main étrange X Est une experte en gymnastique X Adore torturer son frère X Est d'ailleurs un génie de la torture et de l'interrogatoire X Connait énormément la botanique X Adore l'ingénierie X Aime le morbide X Déteste tout ce qui est girly X  
Caractère
Wednesday est beaucoup de choses. La décrire entièrement prendrait des pages et des pages. Le plus frappant chez elle est son incapacité à comprendre correctement le social. Effectivement, elle ne parvient pas à décoder les messages qui lui arrivent, le sens d’une expression du visage, la tonalité de la voix, l’humour, les doubles sens, et le sens des gestes. Elle paraît même parfois submergé par la « cacophonie » de l’environnement, ni à adresser clairement ses propres messages à ceux qui l’entourent, faisant preuve de ce que l’on considère comme une extrême froideur et d’un ton trop formel, d’une sévérité excessive et sans aucune empathie possible. Elle est en quelque sorte dispersé dans l’espace, déphasé dans le temps, dépassé par les échanges, et sa communication maladroite et hésitante se perd le plus souvent dans des tentatives avortées qu’elle préfère directement réduire au silence. Pour être moins dispersé, elle se concentre sur les détails ; pour être moins déphasé, elle se complaît dans les routines ; ses échecs de communication avec les autres l’amènent à une concentration exclusive sur elle-même, dénigrant l’humanité entière pour sa mécompréhension et sa futilité. Wednesday blâme les autres de leurs incompétences, de leur façon de voir le monde mais intérieurement, une sorte de souffrance c’est installé. Elle ne montre rien parce qu’elle ne veut rien ressentir. Elle exècre les sentiments et pour cause, elle les ressent avec une intensité plus forte que la moyenne. Alors elle enfouit tous sous une couche de noirceur et de froideur. Elle ne veut pas paraître faible car un des éléments réside aussi là-dedans. Wednesday sait qu’elle est différente et pas uniquement à cause de ses pouvoirs psychiques. Elle n’est tout simplement pas comme les autres. Si la différence sublime le collectif, elle s’est rendue compte très jeune, que la différence faisait aussi peur. On stigmatise. On harcèle. On tue la différence. Ayant pour principe, tuer ou être tuer, elle s’est donc mis bille en tête d’être la plus forte, le prédateur ultime, froid et insensible. Si elle arrive à berner la grande majorité, quelques exceptions arrivent à voir dans son jeu, de cette trop grande sensibilité qu’elle ne sait contrôler.

Wednesday est étonnante de par sa culture générale exceptionnel et elle a porté son intérêt dans un domaine spécifique dans laquelle elle excelle d’autant plus. La mort. Le sujet l’a fascine. De passer vie à trépas. De n’avoir qu’un but dans cette vie, atteindre la mort. Douce, violente, naturelle. Elle veut tout connaître. Autant elle est absorbée par la mort physique, ayant une grande connaissance de l’anatomie, autant elle apprécie aussi le mécanisme psychologique de ceux qui donnent la mort. Les tueurs en série sont fascinants. Tout est fascinant à vrai dire pour la jeune femme. Elle aime aussi se plonger dans les lectures fictionnelles que réelles, les rites mortuaires dans le monde n’ayant pas de secrets pour elle. Wednesday possède aussi une mémoire phénoménale lui permettant de se souvenir du moindre détail, du plus important au plus insignifiant, comme la date et l’heure où est survenu tel ou tel événement, où du premier aliment qu’elle a mangé quand elle était enfant ! Et elle a une fâcheuse tendance à couper son interlocuteur pour lui faire des remarques souvent inappropriées car les mots qu’elle aura entendu lui auront allumés une petite case dans son cerveau lui donnant l’ordre de répondre et d’instruire celui ou celle qui lui parle.

Même si Wednesday est dans son monde, le trouvant bien plus intéressant que celui dans lequel elle se trouve physiquement, elle arrive à faire preuve d’une redoutable adaptation. Elle a quelques amis, dont la loyauté envers eux est sans borne. Il n’y a pas que dans l’amitié qu’elle est sérieuse au possible. Les quelques relations amoureuses qu’elle a pu avoir peuvent en témoigner. Tromper n’est pas envisagé même si pour elle, ce que l’on nomme amour n’est que cet amas de molécules hormonales régissant son organe génital et lui coupant quelques fonctions neuronales au passage. Ce n’est pas désagréable, juste embêtant. Elle fait avec avant de passer à autre chose. La vie continue et puis, elle ne manque pas de charme -même si elle n’en a pas toujours conscience-.

Derrière l'écran
Pseudo : texte
Comment avez-vous connu le forum ? texte
Présence : texte
Commentaire ? texte
Wednesday F. Addams
Revenir en haut Aller en bas
Wednesday F. Addams
Wednesday F. Addams
Sam 25 Mar - 20:11
Histoire
C’est l’histoire d’une fille pas banale. D’une fille « atypique ». D’une fille qui ne cherche pas à cacher ce qu’elle est mais uniquement ce qu’elle ressent. L’avouera t’elle d’elle-même ? Plutôt mourir pendant un combat épique contre un fondateur d’une ville raciste et méprisante. Pourquoi parler de ce combat en début de présentation ? Parce qu’il est révélateur de la pensée de cette jeune femme qui se bat pour la vérité et pour l’oppression. Si au départ, elle n’était pas vraiment convaincue de son placement à l’institut Nevermore, encore moins quand elle découvra sa colocataire, Enid, une louve garou beaucoup trop colorée, elle y prit un certain goût, notamment parce qu’un mystère y planait entièrement. Voir même plusieurs, incluant sa propre famille. Est-ce que son père avait vraiment tué ce jeune homme lors du bal de fin d’année ? Non. Il en était incapable. Elle le savait particulièrement bien et s’afféra à le prouver. En même temps, la série de meurtres qui touchaient son établissement continuait. Si elle appréciait de remonter la trace de ce serial killer, elle n’aimait pas que des innocents soit touché. Cette jeune fille à la morale douteuse pour beaucoup avait en réalité un code d’honneur et une éthique ferme. Seuls les coupables se devaient d’être châtiés. Quand son ami Eugène, qu’elle prend pour son petit frère, est gravement blessé par le monstre, dans tous les sens du terme, d’une manière aussi à cause d’elle, ayant choisi le bal plutôt que leur plan, la culpabilité est grande. Mais, elle arrive à la transformer en une rage saine qui la motive d’autant plus. Qui aurait pu penser que le coupable se trouvait sous ses yeux. Sur ses lèvres même. Un véritable aimant à danger. D’autant plus, qu’en même temps, une menace encore plus grave que ce monstre tueur se déchaina sur eux. Le fameux fondateur de la ville. À vrai dire, elle n’était peut-être pas l’aimant à danger mais le danger elle-même. Un véritable ouragan. Tout ça parce que son ancêtre avait déjà combattu le même fondateur, Joseph Crackstone. Tout ça parce que son ancêtre se manifesta pour lui expliquer la vérité. Tout ça parce qu’elle se devait de protéger les parias dont elle s’était prise en affection. Des gens comme elle. Au final, sa mère avec qui elle était souvent en conflit avait eu raison. Nevermore l’avait changé.

Toutefois, quelque chose l’a changea encore plus que l’année de ses 16 ans et l’internat pour gens « marginaux ».

Quelques minutes après qu’elle eut réussi à renvoyer Crackstone en enfer. Qu’elle s’eût s’inquiéter de sa colocataire pénible mais dont la mort n’était pas une option, une explosion gigantesque retentit. Blessée, et fatiguée, la jeune femme se remit immédiatement en position de combats, comme toutes les personnes présentes mais c’était déjà trop tard. Le ciel se déchira en une immense fissure et se fit le noir total. Quand elle reprit connaissance, elle était seule, au milieu du chaos. Combattante et résistante, elle prit d’abord le parti de se soigner tout en observant les lieux avant de marcher seule. Après tout, ça avait toujours été son rêve, d’être véritablement seule. Elle relégua au fond de son esprit l’inquiétude qu’elle avait pour ses proches, s’obnubilant pour ce nouveau monde qui s’offrait à elle. Contrairement à la majorité des gens, les débuts furent une félicitée. Rien ne l’empêchait d’être elle-même, allant là où la mort se trouvait. Toutefois, au bout d’un an et demi passée comme ça, la jeune femme se rendait compte que ce n’était pas exactement comme elle l’avait imaginé. La solitude rêvée se transformait petit à petit en un fardeau cauchemardesque. La vie avait repris son cours, naturellement mais elle restait encore à coté du chemin. C’est à ce moment là qu’elle rencontra Aguistin, le gardien du cimetière. C’était à prévoir, vu qu’elle y passait la majorité de son temps. S’il lui rappelait Enid dans sa façon de parler, il était aussi beaucoup plus morbide et pour cause, elle avait face à elle, le corbeau de la mort. C’était fascinant. La rencontre entre deux corbeaux. Alors quand il lui proposa de venir habiter chez lui, elle ne refusa pas. C’était même une opportunité en or. Elle avait accès au cimetière librement, elle côtoyait d’anciens marginaux, des vampires, des fantômes et des faucheurs, et elle était surtout nourrie et blanchie -noircie- gratuitement, ce qui lui enlevait une épine du pied. Elle pouvait enfin se concentrer sur des choses importantes comme terminer la rédaction de son ouvrage littéraire. Une fois ça achevée, la jeune femme se trouva un nouveau but. Devenir médecin légiste. Cependant, même si elle connaissait grâce à Aguistin, le medecin légiste actuel, elle devait faire ça dans les règles de l’art. Avoir son diplôme. Une formalité. Mais pour l’avoir, il faudrait aller à l’Université. Payer. L’argent n’avait jamais été un concept qu’elle appréciait, ne s’en formalisant pas. C’étaient ses parents qui s’en occupaient. Elle était au-dessus de ça. Plus maintenant. Elle décida donc de travailler dans la boutique d’Aguistin, qui avait d’ailleurs eu la plus merveilleuse des idées en créant le magasin des suicides pour économiser car dès qu’elle aurait assez, elle recommencerait dans l’ordre des choses. Dans l’ordre qu’elle aurait voulu.

Avec tout ceci, vous vous demandez qui est cette jeune femme ? Réponse d’une simplicité affligeante. Il s’agit de moi. Wednesday Addams. Et si vous ne me croyez pas, passez donc à la boutique, je vous ferai quelques démonstrations qui vous convaincrons à mort de la véracité de mes propos.

Wednesday F. Addams
Revenir en haut Aller en bas
Lucifer S. Heylel
Lucifer S. Heylel
Emploi/loisirs : Reine des enfers, compteuse d'histoire, gérante d'un casino "le Paradise"
Jeu 30 Mar - 18:52




Félicitations !  

Pardon du retard, tu sais ce qu'il te reste à faire pour t'amuser avec ton nouveau personnage ! On ne t'arrête plus :P

sirene  ohqueoui  sirene  Sartre a dit : ‘L’enfer, c’est les autres’. C’était mon premier crush } Wednesday Addams 2745298937  Et bravo ! Tu as franchi l'étape la plus importante, l'écriture de ta fiche !

C'est donc parti pour le fun et la régalade ! Bon jeu à toi  Sartre a dit : ‘L’enfer, c’est les autres’. C’était mon premier crush } Wednesday Addams 792180067  Sartre a dit : ‘L’enfer, c’est les autres’. C’était mon premier crush } Wednesday Addams 792180067

:copyright: Codage By Poor unfortunate Souls



Lucifer S. Heylel
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 1
Sauter vers: